mardi 15 décembre 2009

Addenda à l'identité nationale :Français mon amour.

Français mon amour, j'ai beau sué, j'ai beau marché on me reproche toujours l'origine de mes racines.
Alors je bois l'eau de la fontaine de ta littérature et la critique je la clos sûr.
J'ai pas de châteaux brillants à t'offrir mais je te promets je resterai constant et galant. Je suis un romantique.
Il me la joue classique, à en bayer aux corneilles, liaisons dangereuses Ils disent que je suis l'intrus de ton identité.
Prennent mes minarets pour des vits longs visant ton con court laïciste.
L'esprit des lois détourné, laïcité cache-sexe néo-raciste.

alors français mon amour pendant que les cons courent le Goncourt, nous on bourre le con de la langue à Dutourd et créolisons ces aires compassés.

Viens t'allonger sur ce près vert, apprécie la bruyère.
Je n'ai jamais su comment acquérir ton art tôt.
A l'école mal armé, de toi on m'isola.
Je me fous qu'aux près des autres je passe pour un fou, on pourra me surveiller me punir, rien n'y fera.
Les Roberts, de Larousse m'ont existé,
certains de tes dictionnaires m'ont insulté « fuck le littré ».
On peste contre l'étranger ce cas m'humilie.
C'est détournement d'art mineur pour thème majeur.

alors français mon amour pendant que les cons courent le Goncourt, nous on bourre le con de la langue à Dutourd et créolisons ces aires compassés.

Les mots passant de ta langue à nos langues, mes flots berbère sonne justes.
T'inquiète Marianne c'est pas une tournante, on aime ton buste.
attrape tes reins beaux et se dirige vers laine.
Tu es notre reine tu nous feras rois. On fais passer le marquis de Sade pour un être fade.
De ta langue on a trouvé le point G mettant sous les O tout ton alphabet.
Conjonction de coordination avec des mots « lières »
entre nous pas de fables, faisons jaillir la fontaine de ton intimité.
De t'entretenir ainsi, rends tes paires verts.
Orgasmes littéraires pour les lettres françaises
cauchemar lexical pour les impuissants de l'académie française.
Comme Jésus on finira crucifier
sacrifier sur l'autel de nos idées.

alors français mon amour pendant que les cons courent le Goncourt, nous on bourre le con de la langue à Dutourd et créolisons ces aires compassés.

Accro comme Malraux pas un jour sans une rime.
Mais rimer c'est difficile quand on a pas l'esprit prospère.
J'ai sacrifié ces lignes parce que j'aimais ces aires glissants contre les voyages au bout de l'enfer,
Je prévaux que nos amours dure toujours. Car je sais que la terre est aux hommes.
Pourtant jamais on ne sera élu artiste brillant du siècle.